La maladie d’Alzheimer provoque un ralentissement global de la motricité et des activités quotidiennes. Toutefois, l’exercice physique maintient les capacités fonctionnelles et cardiorespiratoires et la réalisation des gestes simples de la vie au quotidien.
Il est prouvé que l’activité physique apporte un bienfait chez l’ensemble des patients souffrants d’une désorientation spatiale.
L’activité physique adaptée (APA) fait partie des traitements non médicamenteux de la maladie d’Alzheimer. En effet, la pratique régulière d’une activité physique contribue à maintenir la tonicité musculaire, lutte contre l’isolement social et peut faire travailler la mémoire.
Les patients qui ont recours à ces activités sportives adaptées (marche, natation, ergocycle et rameur…) témoignent de bénéfices physiques (par exemple sur l’autonomie et l’endurance), mais également de bénéfices psychosociaux (lutte contre l’isolement, meilleure image de soi).